
Déjà deux jours de grève du zèle des douaniers à Calais (Pas-de-Calais) et Dunkerque (Nord). Depuis lundi 4 mars, l’intersyndicale a appelé à ce mouvement de colère dans le but de « montrer ce qui se passera après le Brexit », et de réclamer des moyens supplémentaires, a-t-elle expliqué à l’Agence France presse (AFP).
La grève continue à Calais et Dunkerque, pour une démonstration de ce qui pourrait arriver après le Brexit. En effet beaucoup de changements sont à prévoir après la sortie des Britanniques. Les contrôles renforcés pourront occasionner des retards de livraisons, et le blocage à Calais l’a bien montré.
Les employés ne se sentent pas soutenus et ne sont pas prêts au no deal du Brexit, des besoins sont revendiqués pour que le gouvernement mette en place certaines dispositions pour aider le quotidien des acteurs de la douane. La grève n’est pas approuvée par la direction de douanes.
Dans tous les cas, il est vrai que la France n’est pas forcément prête à toutes les répercussions du Brexit et surtout du no deal. Pourtant le gouvernement s’efforce de trouver des solutions pour les citoyens et les entreprises.
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