
Le développement de flottes de vélos et trottinettes en libre service a créé l’anarchie sur les trottoirs et dans les rues de nombreuses villes. Mais encadrés, ces services peuvent devenir des atouts pour les collectivités, estime une étude de l’Ademe.
Grâce à la mobilité verte de nouveaux marchés se sont mis en place dans les villes : les vélos et trottinettes électriques. Le libre-service de ses moyens de transport a créé des polémiques dans les grandes villes et des débats ont été lancés; D’ailleurs le gouvernement a dû mettre en place des lois spécialement pour ces véhicules.
En effet plus on laisse de libertés, plus la population les tests. Ces services ont subi des dégradations et les usagers se sont mis en danger dans beaucoup de situations. Nous avons tous entendu parler des trottinettes retrouvées dans le Vieux-Port de Marseille, ou de celles abandonnées en pleine voie de circulation. Quand on ne paye pas le matériel nous faisons souvent face à du laxisme.
Comme pour tous les services nouveaux, il était important d’analyser les limites et aujourd’hui nous en avons certaines en tête. La mise à disposition de véhicules électriques était une très bonne idée mais malheureusement pas assez réglementée, pour que sur du long terme l’utilisation soit harmonieuse. Certes il y aura toujours des contestataires mais il y en aurait peut-être eu moins si des règles avaient été élaborées au préalable.
Comment mieux encadrer ces nouveaux moyens de transport ?
Lire la suite actu-environnement