Au Forum Energy for Smart Mobility, qui s’est tenu à Marseille les 14 et 15 mars, les participants ont souligné le décalage entre la demande publique et le faible déploiement des infrastructures nécessaires à la mobilité électrique.
La fin du diesel, une réalité qui effraie les professionnels. En effet la popularité des véhicules électriques monte en côte de jour en jour. En 2019 c’est un programme de déploiement à grande échelle de systèmes énergétiques intelligents qui se met en place. Le gouvernement souhaite une mobilité plus verte et prône l’électrique mais il est important que les structures de recharge suivent le mouvement.
La mobilité électrique devient un enjeu majeur dans le monde. Même les films américains s’y mettent, oui je vous l’annonce James Bond aura une voiture électrique dans ses prochains films. Cette nouvelle conjoncture alerte les constructeurs automobiles en Europe. En effet les véhicules diesel sont boycottés forçant un passage aux nouvelles énergies.
La réduction des émissions de CO² est certaine et calculée avec les véhicules électriques. Mais les répercussions de ce moyen sont-elles bien prises en compte pour le long terme ? En France c’est le nucléaire qui nous fournit l’électricité, ce moyen de déplacement profiterait donc à cette énergie néfaste pour la planète.
De plus dans la réalité l’Europe n’est pas équipée pour fournir les batteries, et que feront nous des batteries après usure ? Le projet est beau mais le gouvernement a-t-il pensé à tous les éléments ? Que se passera-t-il à long terme ? Comment rapidement installer les infrastructures nécessaires ? Comment gérer la production des batteries ? Etc …
Il est évident qu’il faut aussi convaincre le consommateur de l’utilisation de ses véhicules, mais aussi de favoriser la transition. Beaucoup n’auront pas les moyens de changer de véhicules même avec une prime.
Comment rendre le projet viable sur le long terme ?
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