
Les Vingt-Sept se réunissent ce jeudi 21 mars à Bruxelles. Au menu du jour : le report du Brexit, demandé mercredi par le Royaume-Uni. Depuis, d’Angela Merkel à Emmanuel Macron, de Donald Tusk à Jean-Claude Juncker, les réactions se multiplient et les nuages s’épaississent. Une décision …
Theresa May a demandé à l’Europe un report du Brexit au 30 juin 2019 en remplacement du 29 mars. En effet aucun accord n’a été encore défini et c’est l’inconnu total autant pour les Britanniques que pour les Européens sur le devenir de cette proposition de sortie du Royaume-Uni. Une dure séparation se laisse entrevoir avec des conséquences sur le marché économique et pour les citoyens.
La date du 30 juin demandée semble poser un problème aux Européens. Une date trop longue à leur goût qui risque de mettre en péril les décisions de l’Europe. Il est impératif de penser aux élections européennes, les Britanniques ne doivent pas y participer.
La question se pose et si les Britanniques ne sortaient pas de l’Union européenne. Peu probable, mais s’il y a participation aux élections, un risque existe. Dans les deux cas le plus important c’est de ne pas laisser la situation en « no deal ».
Une situation sans précédent qui laisse notre gouvernement européen dans le flou total.
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